Marché immobilier à Paris en 2026 : entre réalisme et reprise sélective

Marché immobilier à Paris en 2026 : entre réalisme et reprise sélective

Le marché parisien a traversé deux années de correction.
En 2026, les prix se stabilisent, les acheteurs reviennent, mais la sélection est plus stricte.
La valeur d’un bien repose désormais sur sa clarté : bon DPE, emplacement précis, surface optimisée.

Paris, un marché en train de se rééquilibrer

Les acheteurs ne fuient plus la capitale. Ils reviennent, mais mieux informés et plus exigeants.

Les petites surfaces proches des transports ou des pôles tertiaires restent très demandées.
Les biens énergivores ou mal situés, eux, subissent encore des délais longs.

Les arrondissements centraux tiennent leurs prix.
Mais les quartiers périphériques (19e, 20e, nord du 18e) s’ajustent avec des baisses de 5 à 10 %.

Les nouveaux critères qui font la différence

La qualité énergétique, la luminosité et la distribution intérieure déterminent désormais la valeur.

Un studio bien rénové et performant se vend plus vite qu’un grand appartement à rénover.

Les acheteurs veulent “voir clair” : diagnostics complets, estimation réaliste, prix justifié.

homeloop, un modèle utile sur le marché parisien

Dans une capitale où la lenteur administrative peut freiner les ventes, Homeloop permet de gagner un temps précieux.

L’offre ferme sous 48 h sécurise la transaction et évite les désistements liés aux prêts.

Les vendeurs disposent d’une estimation fiable et peuvent passer à leur nouveau projet sans attendre.

À Paris, le réalisme redevient la meilleure stratégie.

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